Exposition de Groupe

Exposition de Groupe

Accrochage d'artistes de la galerie: Joël Brisse, Calmen & Bech, Alexandra Duprez, Thierry Diers et Bernard Guillot.
23 avril - 09 mai 2015


Joël Brisse (1953)
- Peintre et réalisateur, vit et travaille à Paris.
« Ce que cherche Joël  Brisse n’est pas le sujet. Il y a ici un ensemble qui nous regarde, nous accompagne et témoigne dans des mises en scène, décor unique épuré presque dans le vide, derrière un arbre, en relation avec d’étranges objets ou natures mortes, souvenirs de lieux et de rencontres. Peinture qui porte les interrogations au monde que le peintre pose sur la toile ».

Calmen & Bech (nés dans les années 60)- photographes, vivent et travaillent à Paris.
"Deux regards dont les trajectoires s'opposent, l'une montant vers le ciel, vers l'infini, vers le pays des anges, l'autre vers les profondeurs de la terre, vers la mémoire enfouie, vers le pays des anges déchus".../...


Alexandra Duprez (1974) – Peintre, vit et travaille en Bretagne.
"La figure humaine est au centre de mon travail, une figure humaine en interaction avec des éléments d’ordres divers - animal, végétal … Ces rapprochements et oppositions, ces  juxtapositions et ces effacements mettent en scène un nombre limité de « lambeaux d’images » que je revisite à chaque tableau et que je complète, d’années en années.

Jumeaux, chevelures, cabanes, main gauche- main droite, ombres, ondes…  Progressivement depuis quinze ans , il m’est apparu que je prenais à mon compte des choses enfouies, oubliées parfois, de l‘histoire des images et de mon histoire sans doute aussi".

 

Thierry Diers (1954) - Plasticien et peintre, vit et travaille à Paris.

Des espaces abstraits des premières toiles à la non-figuration actuelle, Thierry Diers invente une écriture reconnaissable, spécifique, un langage. Dans sa singularité, l’univers du peintre devient alors le monde de celui qui regarde. Ce regard qui raconte le monde.

 

Bernard Guillot ( 1950) - Peintre et photographe, vit et travaille à Paris et au Caire (Egypte).

« Pour en parler, comme pour écouter une musique, il faut lâcher prise. 

Il y a la matière, le papier et la couleur, on flotte et effleure l’image.  Le sujet interroge, les tons caressent l’esprit, tout est curiosité et nous enveloppe.  On désire connaître, tout savoir et pourtant laisser le silence ne pas déchirer le rêve.  Bernard nous offre un espace-temps, nous relie à des racines secrètes que l’on peut enfin apercevoir. Elles apparaissent, des instants et des moments connus, ce sont nos parents lointains ou nos doubles ?  Comme une onde parallèle, une histoire se prolonge ».